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NEUROSCIENCES : RECHERCHES
309. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Effort mental, penser fait mal : la triste vérité sur l'effort mentalDe nouvelles recherches suggèrent que l’effort mental est souvent associé à des sentiments désagréables tels que le stress et l’irritation, remettant en cause l’idée selon laquelle les gens aiment les tâches mentalement exigeantes. Une méta-analyse de 170 études a mis en évidence un lien constant entre l’effort mental et l’inconfort dans diverses populations et tâches. Il est intéressant de noter que cet effet aversif était moins prononcé dans les pays asiatiques, peut-être en raison d’attitudes culturelles différentes à l’égard de l’éducation. Malgré l’inconfort, les gens continuent de s’engager dans des tâches difficiles en vue d’une récompense potentielle, ce qui indique que la motivation réside peut-être dans les avantages plutôt que dans l’effort lui-même.
310. NEUROLOGIE & NEUROSCIENCES
Quatorze facteurs de risques modifiables : l’intervention dès l’enfance réduit les risques de troubles à l’âge adulteUn nouveau rapport souligne que la prise en compte de 14 facteurs de risque modifiables dès l’enfance pourrait prévenir ou retarder près de la moitié des cas de démence. L’étude identifie un taux de cholestérol LDL élevé et une perte de vision non traitée comme de nouveaux risques importants. La mise en œuvre d’interventions précoces peut améliorer la santé cognitive et réduire le fardeau de la démence à l’échelle mondiale. Les chercheurs soulignent l’importance de politiques ciblées et de changements de mode de vie pour atténuer ces risques.
311. NEUROLOGIE & NEUROSCIENCES & DOULEUR
Rééducation du Cerveau : Psychose, Trouble cognitif lié au réseau cérébralDe nouvelles recherches révèlent que les troubles cognitifs associés aux troubles psychotiques, comme la schizophrénie et le trouble bipolaire, sont liés à l’organisation des réseaux cérébraux. Ce lien est évident avant même la première crise psychotique chez les individus à risque, ce qui offre un potentiel de diagnostic et d’intervention précoces. L’étude met en évidence une nouvelle relation entre le réseau cérébral et la cognition qui pourrait conduire à des traitements ciblés pour ces symptômes souvent résistants au traitement.