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NEUROSCIENCES : RECHERCHES
354. NEUROSCIENCES
Mémoire des mots : Identification des régions du cerveau liées à la mémoire des motsUne nouvelle étude a identifié les régions cérébrales essentielles à la mémorisation des mots et la manière dont elles sont affectées chez les personnes atteintes d'épilepsie du lobe temporal. Les chercheurs ont constaté qu'un rétrécissement des cortex préfrontal, temporal et cingulaire, ainsi que de l'hippocampe, était lié à la difficulté à se souvenir des mots. À l'aide d'IRM haute résolution, ils ont examiné 84 patients épileptiques et comparé leurs résultats aux tests de mémoire à la taille du cerveau. Les personnes dont les régions cérébrales étaient plus petites obtenaient de moins bons résultats aux tâches de mémoire verbale, soulignant ainsi le rôle de ces zones dans la mémorisation des mots.
355. NEUROLOGIE & NEUROSCIENCES
Sommeil : Un sommeil moins profond lié au rétrécissement du cerveau et au risque de maladie d'AlzheimerDe nouvelles recherches montrent qu'une réduction du temps de sommeil lent et paradoxal est associée à une diminution du volume cérébral dans les régions vulnérables à la maladie d'Alzheimer. À partir d'études du sommeil et de données d'imagerie cérébrale portant sur 270 participants, les chercheurs ont découvert qu'une mauvaise architecture du sommeil était liée à une atrophie cérébrale au fil du temps, en particulier dans la région pariétale inférieure, une zone affectée précocement par la maladie d'Alzheimer. Ces associations se sont maintenues même après prise en compte de facteurs tels que l'âge, la santé cardiaque et les habitudes de vie. Les résultats suggèrent qu'un sommeil perturbé pourrait être un facteur de risque modifiable de la maladie d'Alzheimer et soulignent l'importance d'un sommeil réparateur pour la santé cérébrale à long terme.
356. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Sommeil : Risques de dépression plus élevés pour les couche-tardUne nouvelle étude révèle que veiller tard, connu sous le nom de « chronotype du soir », est associé à un risque accru de dépression. Les chercheurs ont analysé les données de 546 étudiants universitaires et ont constaté que ce lien est influencé par la qualité du sommeil, la consommation d’alcool et le niveau de pleine conscience. Les chronotypes du soir dormaient moins bien, consommaient davantage d'alcool et faisaient preuve d'une plus faible pleine conscience que les chronotypes du matin. L'étude suggère que ces facteurs pourraient contribuer aux risques pour la santé mentale des jeunes adultes.

Dépêches de presse
Une sélection de l'actualité des neurosciences, psychologie clinique, psychothérapies, neurofeedback et imagerie cérébrale, intelligence artificielle...
ainsi que sur les diverses avancées dans l'étude et le traitement des troubles :
TDAH, autisme, anxiété, dépression, phobies...
- 206. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Pendant le sommeil, les signaux sonores pourraient aider les gens à oublier des souvenirs négatif et spécifiques
- 205. NEUROSCIENCES. Le chemin de l’odorat à la perception est enfin tracé
- 204. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Les adolescents et leur cerveau : ce qui se passe et pourquoi cela conduit à des comportements assez risqués
- 203. NEUROSCIENCES & NEUROLOGIE. Voici les clés pour garder votre cerveau en bonne santé
- 202. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Les cerveaux synchronisés prédisent-ils une belle entente et des mariages heureux ?
- 201. NEUROSCIENCES. La santé cognitive peut être favorisée par un bon petit déjeuner équilibré
- 200. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Les femmes enceintes souffrant d’obésité et/ou de diabète peuvent être plus susceptibles d’avoir un enfant atteint de TDAH
- 199. NEUROSCIENCES. Entouré de collègues malades et/ou perturbés ? Votre corps se prépare au combat
- 198. NEUROSCIENCES. Neurones sensoriels et communication entre la graisse et le cerveau
- 197. NEUROSCIENCES. Le neurofeedback est prometteur pour soulager le « cerveau et les troubles cognitifs associés à la chimiothérapie »
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354. NEUROSCIENCES
Mémoire des mots : Identification des régions du cerveau liées à la mémoire des motsUne nouvelle étude a identifié les régions cérébrales essentielles à la mémorisation des mots et la manière dont elles sont affectées chez les personnes atteintes d'épilepsie du lobe temporal. Les chercheurs ont constaté qu'un rétrécissement des cortex préfrontal, temporal et cingulaire, ainsi que de l'hippocampe, était lié à la difficulté à se souvenir des mots. À l'aide d'IRM haute résolution, ils ont examiné 84 patients épileptiques et comparé leurs résultats aux tests de mémoire à la taille du cerveau. Les personnes dont les régions cérébrales étaient plus petites obtenaient de moins bons résultats aux tâches de mémoire verbale, soulignant ainsi le rôle de ces zones dans la mémorisation des mots.
355. NEUROLOGIE & NEUROSCIENCES
Sommeil : Un sommeil moins profond lié au rétrécissement du cerveau et au risque de maladie d'AlzheimerDe nouvelles recherches montrent qu'une réduction du temps de sommeil lent et paradoxal est associée à une diminution du volume cérébral dans les régions vulnérables à la maladie d'Alzheimer. À partir d'études du sommeil et de données d'imagerie cérébrale portant sur 270 participants, les chercheurs ont découvert qu'une mauvaise architecture du sommeil était liée à une atrophie cérébrale au fil du temps, en particulier dans la région pariétale inférieure, une zone affectée précocement par la maladie d'Alzheimer. Ces associations se sont maintenues même après prise en compte de facteurs tels que l'âge, la santé cardiaque et les habitudes de vie. Les résultats suggèrent qu'un sommeil perturbé pourrait être un facteur de risque modifiable de la maladie d'Alzheimer et soulignent l'importance d'un sommeil réparateur pour la santé cérébrale à long terme.
356. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Sommeil : Risques de dépression plus élevés pour les couche-tardUne nouvelle étude révèle que veiller tard, connu sous le nom de « chronotype du soir », est associé à un risque accru de dépression. Les chercheurs ont analysé les données de 546 étudiants universitaires et ont constaté que ce lien est influencé par la qualité du sommeil, la consommation d’alcool et le niveau de pleine conscience. Les chronotypes du soir dormaient moins bien, consommaient davantage d'alcool et faisaient preuve d'une plus faible pleine conscience que les chronotypes du matin. L'étude suggère que ces facteurs pourraient contribuer aux risques pour la santé mentale des jeunes adultes.