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NEUROSCIENCES : RECHERCHES
357. AUTISME & GENETIQUE & NEUROSCIENCES
Reconnaissance des visages ? Un gène lié à l'autisme altère la perception du visage chez les chiensUne nouvelle étude montre que les chiens Beagle porteurs de mutations du gène Shank3, lié à l'autisme, présentent des anomalies du traitement des expressions faciales similaires à celles observées chez les humains atteints de TSA. Grâce à des tests comportementaux, à l'oculométrie et à des enregistrements cérébraux, les chercheurs ont constaté que ces chiens prêtaient moins attention aux visages, en particulier à la région des yeux, et présentaient des retards dans leurs réponses cérébrales aux signaux faciaux. Les chiens mutants ne parvenaient pas non plus à distinguer les différents types de visages, une caractéristique essentielle de la cognition sociale. Ces résultats soulignent non seulement le rôle de Shank3 dans le comportement social lié aux visages, mais ouvrent également la voie à un nouveau modèle canin pour la recherche sur l'autisme.
358. NEUROLOGIE & NEUROSCIENCES
Allons tous a la GYM : La musculation peut ralentir le déclin cognitif et protéger le cerveau vieillissantUne nouvelle étude montre que la musculation non seulement améliore la force physique, mais protège également le cerveau des personnes âgées souffrant de troubles cognitifs légers. Après six mois d'entraînement en résistance deux fois par semaine, les participants ont montré une amélioration de leur mémoire et une protection contre l'atrophie cérébrale dans les régions liées à la maladie d'Alzheimer. Les examens IRM ont révélé une préservation de l'intégrité de la substance blanche et une meilleure santé cérébrale, tandis que le groupe témoin présentait un déclin. Ces résultats suggèrent que la musculation pourrait être une stratégie peu coûteuse et non pharmacologique pour ralentir, voire inverser, le déclin cognitif précoce.
359. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Trop d’émotions : L'anxiété déforme la perception de soi, même après le succèsUne nouvelle étude révèle que les personnes anxieuses ou dépressives sous-estiment souvent leurs capacités en raison d'un processus métacognitif perturbé. Même lorsqu'elles accomplissent bien leurs tâches, elles ont tendance à se concentrer sur les moments de manque de confiance et à ignorer les moments où elles se sentaient rassurées. Ce manque de confiance persistant peut les décourager de relever de nouveaux défis, malgré leurs capacités. Cependant, l'étude a également révélé qu'un retour positif externe peut les aider à redéfinir leur perception d'eux-mêmes et à briser le cycle du doute.

Dépêches de presse
Une sélection de l'actualité des neurosciences, psychologie clinique, psychothérapies, neurofeedback et imagerie cérébrale, intelligence artificielle...
ainsi que sur les diverses avancées dans l'étude et le traitement des troubles :
TDAH, autisme, anxiété, dépression, phobies...
- 272. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Le rôle de la respiration dans l'amélioration de la mémoire pendant le sommeil
- 271. NEUROSCIENCES. Les phrases complexes ou argumentées stimulent les centres de langage du cerveau
- 270. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Le Trouble Panique et la Cartographie du circuit cérébral
- 269. NEUROSCIENCES. Lien cerveau-intestin : comment les bactéries intestinales productrices de vitamine B12 influencent les neurotransmetteurs
- 268. NEUROSCIENCES. Des nouvelles informations sur l'activité cérébrale révèles par fNIRS
- 267. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIES. Début précoce de la démence : Découvrez les risques cachés
- 266. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Le stress de l'enfance est lié à la dépression chez l'adulte
- 265. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE. Équilibre optimal : les bienfaits mitigés de la solitude sur la santé
- 264. NEUROSCIENCES. Contrôle des impulsions : Découverte d'une zone cérébrale associée
- 263. NEUROSCIENCES. L'IA et l'EEG font parler les pensées silencieuses en texte
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357. AUTISME & GENETIQUE & NEUROSCIENCES
Reconnaissance des visages ? Un gène lié à l'autisme altère la perception du visage chez les chiensUne nouvelle étude montre que les chiens Beagle porteurs de mutations du gène Shank3, lié à l'autisme, présentent des anomalies du traitement des expressions faciales similaires à celles observées chez les humains atteints de TSA. Grâce à des tests comportementaux, à l'oculométrie et à des enregistrements cérébraux, les chercheurs ont constaté que ces chiens prêtaient moins attention aux visages, en particulier à la région des yeux, et présentaient des retards dans leurs réponses cérébrales aux signaux faciaux. Les chiens mutants ne parvenaient pas non plus à distinguer les différents types de visages, une caractéristique essentielle de la cognition sociale. Ces résultats soulignent non seulement le rôle de Shank3 dans le comportement social lié aux visages, mais ouvrent également la voie à un nouveau modèle canin pour la recherche sur l'autisme.
358. NEUROLOGIE & NEUROSCIENCES
Allons tous a la GYM : La musculation peut ralentir le déclin cognitif et protéger le cerveau vieillissantUne nouvelle étude montre que la musculation non seulement améliore la force physique, mais protège également le cerveau des personnes âgées souffrant de troubles cognitifs légers. Après six mois d'entraînement en résistance deux fois par semaine, les participants ont montré une amélioration de leur mémoire et une protection contre l'atrophie cérébrale dans les régions liées à la maladie d'Alzheimer. Les examens IRM ont révélé une préservation de l'intégrité de la substance blanche et une meilleure santé cérébrale, tandis que le groupe témoin présentait un déclin. Ces résultats suggèrent que la musculation pourrait être une stratégie peu coûteuse et non pharmacologique pour ralentir, voire inverser, le déclin cognitif précoce.
359. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Trop d’émotions : L'anxiété déforme la perception de soi, même après le succèsUne nouvelle étude révèle que les personnes anxieuses ou dépressives sous-estiment souvent leurs capacités en raison d'un processus métacognitif perturbé. Même lorsqu'elles accomplissent bien leurs tâches, elles ont tendance à se concentrer sur les moments de manque de confiance et à ignorer les moments où elles se sentaient rassurées. Ce manque de confiance persistant peut les décourager de relever de nouveaux défis, malgré leurs capacités. Cependant, l'étude a également révélé qu'un retour positif externe peut les aider à redéfinir leur perception d'eux-mêmes et à briser le cycle du doute.