Hyperactivité TDAH
Qu’est-ce que l’Hyperactivité TDAH ?
L’Hyperactivité TDAH c’est un trouble de déficit de l'attention, presentant des difficultés : à se concentrer, à être attentifs et à mener à terme des tâches le moindrement complexes. Ces patients ont du mal à rester en place; à attendre leur tour et agissent fréquemment de façon impulsive.
L’Hyperactivité TDAH est-elle plus visible chez l’enfant ou chez l’adulte ?
L’Hyperactivité TDAH est souvent plus notoire chez l’enfant que chez l’adulte. Le trouble persiste à l’adolescence dans 40 % à 70 % des cas et jusqu’à l’âge adulte chez la moitié des enfants qui en sont atteints. Mais très souvent l’Hyperactivité TDAH n’est diagnostiquée qu’à l'âge adulte.
Quels symptômes caractérisent l’Hyperactivité TDAH ?
L’Hyperactivité TDAH est caractérisée par trois symptômes : l’inattention, l’hyperactivité et l’impulsivité. Voir plus de symptômes du TDAH ici.
Y a-t-il un lien entre l’Hyperactivité TDAH et l’intelligence de l’enfant ?
Il n’y a pas de lien entre l’Hyperactivité TDAH et l’intelligence de l’enfant. Les difficultés scolaires sont le plus souvent liées aux troubles du comportement ou au déficit d’attention, mais pas à un manque d’intelligence.
L’Hyperactivité TDAH est-elle une maladie ?
L’Hyperactivité TDAH est en effet un trouble neurodéveloppemental fréquent, touchant environ 5% à 8% des enfants et 4 % des adultes.
Quels sont les symptômes de l’Hyperactivité TDAH ?
Les symptômes principaux d’un patient ayant une Hyperactivité TDAH sont : les difficultés de concentration, l’agitation motrice et l’impulsivité. Le trouble peut être aussi associé à d’autres troubles : anxiété, troubles du sommeil, conduite d'opposition, dyslexie, etc.
L’Hyperactivité TDAH est-elle un handicap ?
L’Hyperactivité TDAH est reconnue comme un « Handicap Cognitif » depuis 2005 (la demande doit être sollicitée auprès de la Maison départementale des personnes handicapées ou "MDPH").
Quelle est la cause de l’Hyperactivité TDAH ?
L’Hyperactivite TDA/H est un trouble neurologique complexe. D'après les recherches toujours en cours, il serait dû au dysfonctionnement de certains messagers chimiques (neurotransmetteurs) avec une sérieuse suspicion de retransmission génétique.
Où se situe l’Hyperactivité TDAH au cerveau ?
L’Hyperactivité TDAH se situe et niveau central du cerveau avec une incidence sur la partie préfrontale, responsable de fonctions supérieures : l'inhibition, la planification, l’organisation et la décision.
L’Hyperactivité TDAH se soigne-t-elle ?
S'il n'existe aucun traitement guérissant le TDAH, un ensemble de mesures permettent de réduire autant que possible les symptômes. Elles atténuent aussi les conséquences du TDAH sur le développement de l'enfant, et sur ses relations avec son entourage.
Existe-t-il un traitement pour l’Hyperactivité TDAH ?
Un traitement pour l’Hyperactivité TDAH est la rééducation du cerveau par Neurofeedback ; après la localisation et l’identification des « fonctionnements atypiques » à travers le QEEG électroencéphalogramme quantitatif, le traitement est fait sur des systèmes et équipements Neurofeedback certifiés médicaux. Voir Ruby Villar-Documet https://www.rvd-psychologue.com/neurofeedback-dans-le-traitement-du-deficit-attention-et-hyperactivite-tdah.html
Quel est le traitement le plus efficace pour l’Hyperactivité TDAH ?
Le Neurofeedback est le traitement N°1 pour l’Hyperactivité TDAH. L’American Pediatric Association aux USA, a préconisé le Neurofeedback comme « l’approche clinique N°1- Meilleure thérapie » pour le traitement TDA/TDAH au vu de ses résultats surprenants. Meilleur traitement TDAH.
L’Hyperactivité TDAH est-elle provoquée par l’éducation ?
Non, l’Hyperactivité TDAH, n'est provoquée ni par l'éducation, ni par des troubles psychologiques.
Comment fonctionne le cerveau d'un patient souffrant de l’Hyperactivité TDAH ?
Le TDAH est la conséquence du mauvais fonctionnement de certaines zones du cerveau. Parmi elles, le dysfonctionnement du lobe frontal, responsable de fonctions supérieures comme l'inhibition, la planification et la modulation des réponses.
L'Hyperactivité TDAH peut-elle se développer ?
Une publication de l'Association médicale américaine - indique que l’Hyperactivité TDAH peut non seulement se développer à l'âge adulte, mais que les symptômes d'une personne atteinte de l’Hyperactivité TDAH, qu'on croyait diminuer avec le temps, peuvent s'aggraver avec le temps.
Comment apprendre à gérer les symptômes de l'Hyperactivité TDAH ?
La thérapie la plus évaluée pour apprendre à l’adulte à gérer ses symptômes, est la Thérapie Cognitivo-Comportementale (TCC). Elle aide les personnes à diminuer leurs symptômes en utilisant des stratégies plus efficaces et permet également de travailler sur l'estime de soi.
Qu'est-ce que l’Hyperactivité TDAH chez l'adulte ?
Le trouble du déficit de l'attention et de l'hyperactivité (TDAH) est une affection neuro-psychiatrique fréquente, aussi fréquente que la dépression et deux à trois fois plus fréquente que la schizophrénie. Décrite depuis avant 1900, elle est généralement génétique et périnatale dans 25 % des cas.
Qui est le pionnier du traitement de l’Hyperactivité TDAH par Neurofeedback ?
Aux Etats Unis, le Dr Joel LUBAR est le pionnier du traitement de l’Hyperactivité TDAH par Neurofeedback. le Dr Lubar (1995) a publié des suivis de 10 ans sur ces cas et a constaté que chez environ 80 % des patients, le neurofeedback peut améliorer sensiblement les symptômes du TDA et de l’Hyperactivité TDAH, avec des changements maintenus et durables.
Est que le Neurofeedback est plus efficace que la Ritaline pour le traitement de l’Hyperactivité TDAH ?
Rossiter et Lavaque (1995) ont constaté que 20 séances de neurofeedback produisent des améliorations comparables dans l’attention et la concentration par rapport à la prise de Ritaline.
Quand les études sur l’Hyperactivité TDAH et le Neurofeedback ont-elles commencé ?
A la fin des années 1970, des recherches sur le traitement des troubles de l’apprentissage, du TDA/TDAH par Neurofeedback ont été effectuées. Le travail clinique du Dr Joel Lubar (exemple, 1995, 2003) et ses collègues de l’université du Tennessee, ainsi que beaucoup d’autres, ont démontré à maintes reprises qu’il est possible de traiter le trouble et d’apprendre au cerveau des bons comportements et la bonne façon de fonctionner, avec des résultats durables.
Y-a-t-il des études sur l’Hyperactivité TDAH, le Neurofeedback et des preuves d’IRM ?
Une étude de Levesque, Beauregard, et Mensour (2006) a été documenté avec l’IRM fonctionnel de neuro-imagerie, sur les changements positifs dans le fonctionnement du cerveau chez les enfants atteints de TDAH après traitement par neurofeedback. Ils fournissent un appui solide qui démontre l’efficacité du Neurofeedback dans le traitement du TDA/TDAH.
Dans le traitement de l’Hyperactivité TDAH par Neurofeedback, existe-t-il des comparaisons avec la Ritaline ?
Fuchs, Birbaumer, Lutzenberger, Gruzelier, et Kaiser (2003) et Rossiter (2005) ont également démontré que le neurofeedback a produit des améliorations comparables par rapport à la Ritaline. Dans un suivi à un an avec une étude de groupe témoin, Monastra, Monastra et George (2002) ont constaté que le neurofeedback a produit des améliorations supérieures par rapport à la Ritaline, même lorsque le médicament a été arrêté.
Existe-t-il des études sur le traitement de l’Hyperactivité TDAH et la Ritaline ?
Des études d’El-Zein et al., en 2005, ont conclu que « le manque de recherche sur les effets à long terme de l’utilisation du méthylphénidate (Ritaline) chez l’homme garantit une grande préoccupation », parce qu’ils ont découvert qu’après seulement trois mois de traitement par Ritaline, 100 % des enfants ont fait l’expérience d’aberrations chromosomiques qui pourraient augmenter le risque de cancer, tout comme les dommages génétiques qui ont été trouvés chez les utilisateurs adultes de méthamphétamine (Li, Hu, Chen, et Lin, 2003).
Quels résultats attendre du traitement de l’Hyperactivité TDAH par Neurofeedback ?
Le traitement par neurofeedback pour le TDA/Hyperactivité TDAH se trouve souvent associé à une diminution de l’impulsivité / l’hyperactivité, une stabilité accrue de l’humeur, des habitudes de sommeil améliorées, une augmentation de la durée d’attention et de concentration, une amélioration des résultats scolaires et une augmentation de la rétention et de la mémoire. Ce qui est fascinant, est que chaque étude sur le TDA/TDAH ou les troubles de l’apprentissage qui a évalué le QI avant et après le traitement a constaté que le QI augmente après le suivi par neurofeedback. Ces améliorations ont varié d’une moyenne de 9 points d’amélioration du QI dans une étude (Linden, Habib, & Radojevic, 1996), à une amélioration moyenne de 12 points d’amélioration du QI dans une étude réalisée par Thompson et Thompson (1998), une moyenne de 19 points de QI dans une autre étude (Tansey, 1990), et même jusqu’à une augmentation moyenne de 23 points de QI dans une étude réalisée par Othmer, Othmer et Kaiser (1999).
Quelle est l’opinion des scientifiques sur l’Hyperactivité TDAH et son traitement par Neurofeedback ?
Le traitement par Neurofeedback de l’Hyperactivité TDAH est cautionnée par une vaste littérature approuvée par la communauté scientifique, et qui comprend des essais cliniques menés à grande échelle et contrôlés. Le Neurofeedback est considéré, comme traitement N°1 pour l’Hyperactivité TDAH, une alternative non-invasive, et relativement sans effet secondaire si la thérapie est assurée par un professionnel de la santé, connaisseur du trouble et expérimenté aux systèmes de rééducation en Neurofeedback.
