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NEUROSCIENCES : RECHERCHES
279. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Non à l’impulsivité ! C’est la maîtrise de soi, qui ouvre la voie au pouvoirLa maîtrise de soi, plutôt que l’impulsivité, conduit souvent les individus à atteindre le pouvoir. La recherche a impliqué sept expériences avec 3 500 participants, démontrant que les individus présentant des niveaux élevés de maîtrise de soi étaient perçus comme plus puissants et aptes à assumer des rôles de leadership. Ces résultats remettent en question les perceptions courantes de la dynamique du pouvoir, soulignant l’importance d’aligner les actions sur les objectifs. L’étude suggère également que le fait de ne pas atteindre des objectifs ambitieux peut diminuer la perception du pouvoir, ce qui fournit des informations précieuses aux organisations sur l’établissement d’objectifs et la sélection des dirigeants.
280. NEUROSCIENCES & NEUROLOGIEE
Pendant le sommeil, les ondes cérébrales nettoient les déchets du cerveauUne nouvelle étude a révélé un rôle crucial du sommeil : les ondes cérébrales facilitant le nettoyage du cerveau en évacuant les déchets. Cette découverte souligne non seulement l’état non dormant du cerveau pendant le sommeil, mais met également en évidence un système sophistiqué où l’activité synchronisée des neurones alimente le flux du liquide céphalo-rachidien, éliminant efficacement les déchets métaboliques et les toxines potentiellement neurodégénératives causant des maladies. Cette découverte ouvre des possibilités d’améliorer les processus de nettoyage du cerveau pour lutter contre les maladies neurologiques et améliorer l’efficacité du sommeil, laissant entrevoir un avenir où un sommeil optimisé pourrait conduire à de meilleurs résultats pour la santé.
281. NEUROSCIENCES & PSYCHOLOGIE
Débloquer les racines de la peur dans le cerveauLes chercheurs fournissent de nouvelles découvertes sur la façon dont la réponse du cerveau au stress peut conduire à une peur généralisée, une condition qui peut avoir de graves répercussions sur la santé mentale et contribuer à des troubles comme le SSPT. En étudiant des souris, l’équipe a découvert un passage induit par le stress de neurotransmetteurs excitateurs à inhibiteurs dans le raphé dorsal du cerveau, un changement qui conduit à des réactions de peur en l’absence de menaces réelles. Ce changement de neurotransmetteur a également été confirmé dans les cerveaux humains post-mortem de personnes atteintes de SSPT. Il est important de noter que les chercheurs ont mis au point des méthodes pour prévenir ce changement et la réaction de peur qui en découle, offrant ainsi de nouvelles voies de traitement.