CONSULTER UN PSYCHOLOGUE PRESENTATION

BIBLIOGRAPHIE

Inscription à la Newsletter

 

NEUROSCIENCES : RECHERCHES

 


SPASMOPHILIE TRAITEMENT
Témoignage et questionnement sur le trouble



temoignages de la vie

 

Ruby Villar-Documet, psychologue clinicien à Courbevoie 

Ruby Villar-Documet, est une psychologue installée à Courbevoie, Parisspécialiste dans l'utilisation intégrative de l'hypnose, de la thérapie psychique, de la thérapie cognitive comportementale (TCC), de la thérapie psychanalytique, de la thérapie psycho-corporelle et des neurosciences cliniques. Elle propose une approche thérapeutique unique en son genre, basée sur une combinaison de ces différentes techniques.

Son approche intégrative permet de traiter avec succès une large gamme de problèmes psychologiques, cognitifs et neurodéveloppementaux dont la spasmophilie.


La spasmophilie est une manifestation du  trouble anxieux, avec une grande sensibilité émotionnelle combinée a un état d´hypersensibilité des nerfs et des muscles qui se manifestent par des crise subites - ou crises de tétanie et/ou panique - associant et regroupant des spasmes et une hyperexcitabilité neuromusculaire : vertiges, contractions des doigts, contractions involontaires et très longues des muscles par exemple ,  ainsi qu’une sensibilité accrue aux stimuli extérieurs. Les personnes atteintes de spasmophilie peuvent également ressentir des symptômes tels que des palpitations cardiaques, de l’anxiété et de la fatigue. Le trouble peut être gênant et perturbant, mais heureusement, il existe des traitements efficaces.

Le psychologue clinicien peut aider les personnes atteintes de spasmophilie en utilisant une thérapie cognitivo-comportementale (TCC), les neurosciences appliquées et /ou un éventail d’autres approches en voie d’un traitement personnalisé. En travaillant avec un psychologue expérimenté, les personnes atteintes de spasmophilie peuvent : soit apprendre à mieux gérer leur trouble ; soit à diminuer et/ou éradiquer le trouble, en améliorant au même temps sa qualité de vie

Le traitement de la spasmophilie par un psychologue clinicien peut être très efficace. Les patients peuvent ainsi, s'attendre à une réduction significative et/ou éradiquer  leurs symptômes. De plus, ce type de traitement peut également aider les patients à mieux gérer le stress et à mieux comprendre leurs émotions.

 

Prendre rendez-vous avec la psychologue

Pour toute demande d’information ou prise de rendez-vous pour le traitement de la spasmophilie, un formulaire de contact est à disposition.


Spasmophilie traitement: découvrez ci-après le témoignagne de Sophie


Spasmophilie traitement : Témoignage et questionnements sur les troubles liés à la spasmophilie

Sophie témoigne de ses angoisses en rapport avec ses troubles et sur la façon de s'en sortir.


Pseudo : Sophie
Titre : Est-ce que je vais guérir un jour?

Sujet : Guérison de la spasmophilie
Spasmophilie traitement, Témoignage, Troubles de l'Anxiété généralisée

Voilà 10 ans environ, je me réveillais en pleine nuit par une crise d'angoisse : des battements de coeur à 120 pulsations et une impression que j'allais mourir. On me diagnostique la spasmophilie.

Je suis d'une nature anxieuse depuis assez jeune et le médecin généraliste m'avait déjà mise sous bétabloquants car je faisais de la tachycardie. Après cette première vraie crise à 24 ans, le médecin me prescrit du Valium.

… Depuis ma vie est ponctuée de périodes où "je récupère" et de périodes où je plonge. Désormais je sais en lisant des documents médicaux que je souffre plutôt de troubles d'anxiété généralisée (TAG), et même d'état de panique.

Un petit souci me paraît souvent insurmontable, ça dépend de ma période. Je fais de grosses crises environ tous les 2 ans. J'ai consulté plusieurs psychiatres et eu divers traitements (Benzodiazépines et antidépresseurs). Ils m'ont dit que je pouvais m'en sortir vu mon caractère mais que ce serait très difficile.

Depuis j'ai déjà replongé malgré leurs bons conseils. Comme le dit le DSM-IV, le TAG est "la souffrance altère le fonctionnement de la personne dans sa vie courante, associés à des symptômes physiques traduisant la tension motrice et l'hypervigilance. L'anxiété devient source de détresse incontrôlable".

Je ne peux pas me plaindre car je n'ai pas eu d'événement dans ma vie qui ont pu me perturber à ce point et je me débrouille pas trop mal dans la vie. Je ne bois pas et je ne fume pas, je mange normalement, je suis en CDD dans un hôpital mais il vrai que je suis fragile et les gens autours de moi le voient et le savent. La dernière crise en Juillet-Août 2004 est carrément devenue de la panique. Je suis depuis sous traitement d'Anti-dépresseurs : Efexor 37,5 (2/jour) et Lysanxia (1/jour). Il y a 10 mois j'avais le double de cette dose.

Je vais actuellement bien car je pratique depuis le début de l'année du yoga qui m'aide à respirer quand je sens un début de crise. Je me rassure beaucoup moi-même en me disant qu'il ne peut rien m'arriver. Car quand je "plonge" : sortir de chez moi devient un vrai calvaire, les autres personnes me fatiguent et me "saoulent", je ne supporte pas le regard des autres : j'ai l'impression qu'ils voient que je suis mal ; je ressens un mal-être, j'ai des vertiges, je me renferme sur moi-même, je dors mal et suis toujours fatiguée, j'ai les muscles tout contractés... Et de plus comme je suis célibataire et qu'à 34 ans ma vie stagne, je n'ai pas d'enfants et peur d'en avoir d'ailleurs (peur de ne pas assumer son éducation) : ça n'arrange pas ma guérison.

Depuis août 2005, je vois un médecin généraliste qui me prescrit en plus de mon traitement, de l'homéopathie et me fait de l'acupuncture (pas avec des aiguilles mais ce sont des détections et des envois d'ondes !?). Le fait d'être suivie mensuellement par un médecin me rassure. Il voit que je ne suis pas prête à arrêter le traitement et me rassure sur mon état qui a l'air de s'améliorer tout doucement. Mais moi j'ai trop peur que ça recommence.

Je suis dans un cercle vicieux : "La peur entraîne la peur". J'aimerai trouver le bon traitement et pourquoi pas essayer la thérapie cognitivo-comportementale mais où j'habite ça n'existe pas.

Est-ce que je vais guérir un jour ? Je sais que la guérison dépend beaucoup de ma volonté mais n'existe-t-il pas une vraie aide à long terme car cette maladie devient chronique. J'aimerai pouvoir vivre sans avoir à prendre d'anti-dépresseurs et autres traitements.

Dois-je continuer à voir mon médecin généraliste ? Est-ce qu'après 2 ans à nouveau sous anti-dépresseurs, je peux arrêter car ce n'est pas un peu trop long pour la prise de ces médicaments car je suis déjà je le sens dépendante (?)

TESTS PSYCHOLOGIQUES

symbole psy final